Quelques courageuses cette semaine, malgré les planètes, l'éclipse, tout çà quoi...

Heureusement, Caroline avait amené une couleur qui donne du peps!

Françoise prépare méticuleusement son dessus de lit constitué d'échantillons de catalogues de tissus pour ameublement :

Elle doublera ensuite le dessus de lit avec un drap.

Elisa est en train de finaliser sa trousse de toilette réalisée au crochet tunisien. Elle souhaitait ajouter à l'extérieur une inscription en arabe qui signifierait justement "trousse de toilette". Après de nombreuses recherches sur internet, nous avons fait vérifier une première expression par une personne d'origine marocaine. Elle nous a conseillé d'utiliser plutôt l'expression "trousse de hammam", qui risquait moins de prêter à confusion. Merci à Oumnia!

Elisa a recopié patiemment par transparence sur son tissu :

A la fin de la séance, l'inscription n'était pas encore totalement brodée, mais le travail était bien avancé. On verra sans doute le résultat la semaine prochaine!

Estelle avait préparé les anses du sac commencé la semaine précédente :

Elle avait à ses côtés le soutien sans faille d'Elisabeth (moralement en tout cas), dont le tricot n'a pas beaucoup avancé pendant la séance...

Caroline, après le succès de la pose de sa première fermeture éclair, a terminé son "sac à poussette" :

Une photo bonus spécialement pour Véronique, on a bien pensé à elle et à ce qu'elle aurait pu dire de cette couleur de fil...

Et de ce tissu...

Mais comme d'habitude, le résultat final l'aurait épatée :

Agnès nous a rejoint un peu plus tard (il n'y a pas d'horaires stricts lors de nos séances, chouette!), et s'est jetée sur son "sac à tarte" pour le finir :

Et hop, un de plus!

Immédiatement, elle a enchainé sur une robe, ici avec la préparation et la découpe des pièces de la doublure :

Mais il y avait aussi Nadège, Chrystel et Bénédicte. Il n'y a pas de photos de leurs oeuvres, parce que l'appareil photo est tombé en panne... hum, hum,... si, si, c'est pour ça... non, non, non, c'est pas parce qu'elles n'ont rien fait